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mes image (31/08 14:53)
Je viens ici pour l'amitié tout simplement et surtout pas pour la guerre des blogs. Non plus pour des imbéciles qui te font croire qui sont des amis sincères et sans pudeur te salissent derrière ton dos comme certains. J'ai construis un blog pour l'amitié sincère et durable pour les bons et les mauvais moments de la vie de chacun et sans hypocrisie. Je suis là tout simplement pour aimer et être aimée…Mon amitié est sincère. Je suis une femme qui n'aime pas les guerres sur les blogs ni les embrouille et je ne veux pas que l'on m'en procure. Ceux qui viennent pour poser des problèmes sans les avertir je les exclu de mon univers sans détour et sans pitié. Je voudrai aussi éviter les chaines, sauf évidemment les articles à faire suivre pour les malades. °*°*Ce sont mes amis qui m'ont fait aimer la vie. Ils me rendent meilleur à mesure que je les trouve meilleurs eux-mêmes... °*°* Amour...Amitié…Fraternité…Partage Merci à vous et bonne visite, merci de votre compréhension, Barbara…

SI TU ES UNE VRAIE AMIE TU PEUX FAIRE CELA: UNE PERSONNE HANDICAPEE N'EST PAS CONTAGIEUSE ELLE DEMANDE JUSTE QU'ON L'ACCEPTE TELLE QU'ELLE EST DANS LA SOCIETE. 97%DES PERSONNES NE COPIERONT PAS CETTE ANNONCE ET NE L'UTILISERONT PAS COMME STATUT, SERAS TU COMME MOI L'UNE DES 3% A AFFICHER CE STATUT AU MOINS PENDANT 1HEURE SUR TON BLOG OU SUR TON PROFIL
Samira et Barbara amies pour la vie...











































































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L'heure...
02/10/2005 21:27

"L'âme fuyante des choses passe,
pas un instant elle n'est la même;
Des heures naissent,des heures meurent,
Et toujours elle est là, à cette place,
Cette pensée,
Dont l'image flotte en mon âme
Des hautes terrasses de l'Eden"
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Je t’attendrai…
02/10/2005 21:10

Je t’attendrai…
Dans un cortège imaginaire Sombrant au gouffre de la nuit Je t’attendrai, ange de chair Au pas des chevaux de l’oubli. * Au fond du verger de l’absence Et dans les ondes du printemps Je t’attendrai, fruit de patience Parcourant les jardins du temps. * Recherchant l’astre de cristal Dans le combat des corps perdus Je t’attendrai, sentimentale Au nom du désir absolu. * Au bruit de cette mer éteinte Et dans l’étonnement des vagues, Je t’attendrai, douce complainte S’écoulant d’un cœur qui divague. * Refusant d’affronter le ciel Au vol des rêves suspendus, Je t’attendrai, un goût de miel Doux, sur mes lèvres défendues.
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Dans l'espace de son coeur
02/10/2005 21:01
Dans l'espace de son coeur

Elle se baigne lascive
Dans l'onde trouble de ses tourments
Et elle reste pensive
Sur les non-dits des serments
Elle essaie vaguement
De penser une plaie rouverte
Elle remarque que le temps
Fait une pause porte ouverte
Hier semble être aujourd'hui
Il s'est faufilé sans bruit
Dans l'espace de son coeur
Et s'y installe en vainqueur
Elle se dit qu'une nuit
Elle s'était endormie
Chassant l'oiseau joli
L'oiseau a ressurgit
Sur lui elle a pleuré
Et ses larmes ont coulées
Sur ses plumes satinées
En lavant le passé
Enfin elle a ouvert les yeux
Sur un miracle merveilleux
L'aigle noir d'antan
Etait devenu blanc.
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Lumière
02/10/2005 20:53

À tous les bohémiens, les bohémiennes de ma rue Qui sont pas musiciens, ni comédiens, ni clowns Ni danseurs, ni chanteurs, ni voyageurs, ni rien Qui vont chaque matin, bravement, proprement Dans leur petit manteau sous leur petit chapeau
Gagner en employés le pain quotidien Qui sourient aux voisins sans en avoir envie Qui ont pris le parti d'espérer Sans jamais voir de l'or dans l'aube ou dans leur poche Les braves Bohémiens, sans roulotte, ni chien Silencieux fonctionnaires aux yeux fatigués
J'apporte les hommages émus Les espoirs des villes inconnues L'entrée au paradis perdu Par des continents jamais vus Ce sont eux qui sont les plus forts Qui emportent tout dans la mort
Devant ces bohémiens, ces bohémiennes de ma rue Qui n'ont plus que la nuit pour partir Sur les navires bleus de leur jeunesse enfuie Glorieux oubliés, talents abandonnés Comme des sacs tombés au bord des grands chemins
Qui se lèvent le matin cruellement heureux D'avoir à traverser des journées Ensoleillées, usées, où rien n'arrivera que d'autres embarras Que d'autres déceptions tout au long des saisons
J'ai le chapeau bas à la main Devant mes frères bohémiens
Félix LECLERC
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